đCONFIEZ-VOUS EN SES PROPHĂTES | 02.12.2025 | âïžJuges Chap.19 â Quand les tĂ©nĂšbres rĂšgnent â Le point le plus bas dâIsraĂ«l
đ 2 DĂ©cembre 2025
đ CROIS EN SES PROPHĂTES
đ Lecture biblique quotidienne
âïž Juges 19 â Quand les tĂ©nĂšbres rĂšgnent â Le point le plus bas dâIsraĂ«l
âš PĂ©chĂ© sans autoritĂ©, cĆur sans Dieu
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đ” Introduction
Juges 19 est lâun des chapitres les plus sombres de la Bible. Il montre jusquâoĂč un peuple peut tomber lorsque Dieu nâest plus Roi dans sa vie. Ce qui commence comme un voyage finit dans une violence effroyable, lâhumiliation et la dĂ©chĂ©ance morale. Ce texte choque â et câest voulu. Il nous confronte Ă la question : Que se passe-t-il lorsque chacun fait ce qui lui semble juste ?
Non pour nous décourager, mais pour nous réveiller.
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đĄ Commentaire
Câest le soir Ă Guibea. Les rues sont vides, la lumiĂšre vacille faiblement de maison en maison. Un LĂ©vite, accompagnĂ© de sa femme et dâun serviteur, cherche un abri pour la nuit. Personne nâouvre â une ville dâIsraĂ«l, mais sans hospitalitĂ©, sans amour du prochain. Seul un vieil homme, lui-mĂȘme Ă©tranger, les accueille, brise le modĂšle de lâindiffĂ©rence et leur offre du pain, de lâeau, de la chaleur.
Mais Ă mesure que lâobscuritĂ© tombe, la vraie morale de la ville apparaĂźt. Des pas autour de la maison. Des chuchotements. Des poings contre la porte. Des hommes â non pas un, mais plusieurs â exigent quâon leur livre lâĂ©tranger. Pas de protection, pas de justice, pas de crainte de Dieu. La scĂšne rappelle Sodome, mais cette fois câest IsraĂ«l lui-mĂȘme.
Le maĂźtre de maison supplie, propose des alternatives, tente de freiner lâinacceptable â en vain. Le LĂ©vite livre sa concubine. Les portes se ferment, les cris commencent. La nuit est longue, impitoyable, cruelle. Aucun voisin ne vient. Aucun juste ne se lĂšve. La ville dort dans la culpabilitĂ©.
Ă lâaube, elle est lĂ â brisĂ©e, muette, les mains sur le seuil. Le LĂ©vite dit seulement : « LĂšve-toi, partons. » Plus de rĂ©ponse. Seulement le silence.
De retour chez lui, il la dĂ©coupe en douze morceaux â non par barbarie, mais comme un rĂ©veil. Un appel sanglant et silencieux Ă la nation :
Voyez ce que nous sommes devenus.
Et tout IsraĂ«l est saisi dâeffroi. Jamais rien de tel ne sâĂ©tait produit depuis la sortie dâĂgypte.
Le message est tranchant :
Le mal nâa pas grandi en une nuit.
Il a commencĂ© par de petites dĂ©rives, par des cĆurs sans direction, par un peuple sans roi â sans Dieu.
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đą RĂ©sumĂ©
Juges 19 raconte le viol et le meurtre dâune femme Ă Guibea, commis par des IsraĂ©lites. Il montre la dĂ©chĂ©ance morale dâun peuple qui a abandonnĂ© Dieu. Lâhistoire se termine par lâindignation et lâappel Ă rĂ©flĂ©chir et Ă agir.
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đą Message pour nous aujourdâhui
âą La dĂ©chĂ©ance et le pĂ©chĂ© commencent doucement â lĂ oĂč Dieu nâest plus Seigneur de la vie.
âą LâindiffĂ©rence est souvent le premier pas vers une grande culpabilitĂ©.
âą Sans direction divine, un peuple perd sa conscience.
âą Dieu nous montre ce texte pour que nous reconnaissions : loin de Lui, le cĆur sâassombrit.
âą Le vrai changement ne commence pas dans le systĂšme, mais dans le cĆur.
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đŹ PensĂ©e du jour
OĂč est-ce que je tolĂšre les tĂ©nĂšbres au lieu de choisir la lumiĂšre ?
OĂč ai-je besoin que Dieu rĂšgne Ă nouveau sur mon cĆur ?
Car lĂ oĂč Il rĂšgne, les tĂ©nĂšbres cessent â et la guĂ©rison commence.
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đ 30 novembre â 3 dĂ©cembre 2025
đ CROIS EN SES PROPHĂTES
đ Lecture hebdomadaire de l’Esprit de prophĂ©tie
đ Ellen White | Patriarches et ProphĂštes â Chapitre 45
đ„ La prise de JĂ©richo | Quand les murs sâeffondrent devant la foi
đLire en ligne ici
đ„ BLOG 3 â Lâinterdit de Dieu
đ· JĂ©richo ne vous appartient pas
Dieu réclame la premiÚre victoire
đ” Introduction
La victoire est lĂ , les murailles sont tombĂ©es, la ville appartient Ă IsraĂ«l â du moins le croit-on. Mais Dieu place un interdit sur la ville. Ce qui brille nâappartient pas Ă la main de lâhomme.
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đĄ Commentaire
Lâair sentait la fumĂ©e, le bois se brisait, et la poussiĂšre dansait au soleil. JĂ©richo Ă©tait tombĂ©e â une ville bĂątie sur des idoles, gisant maintenant comme un gĂ©ant vaincu dans la vallĂ©e. Partout, des vases dâor, des tissus pourpres, des Ćuvres dâart magnifiques.
Mais un mot puissant se posa sur tout cela comme un feu invisible : INTERDIT.
Ne pas toucher. Ne pas prendre. Ne pas posséder.
Pourquoi ?
Parce que JĂ©richo nâĂ©tait pas un triomphe dâIsraĂ«l â mais une Ćuvre de Dieu.
La premiĂšre victoire ne devait pas remplir les mains dâIsraĂ«l, mais purifier leurs cĆurs.
Jéricho était un sacrifice. Une offrande des premiers fruits.
Une confession :
« Ce nâest pas nous qui conquĂ©rons â câest Dieu qui donne. »
La ville Ă©tait pleine dâidolĂątrie, pleine dâimmoralitĂ©, pleine dâun Ă©clat sĂ©duisant. Si IsraĂ«l sâen Ă©tait enrichi, cette premiĂšre victoire aurait dĂ©jĂ corrompu son cĆur. Dieu protĂšge en retirant.
Il préserve par le renoncement.
Car parfois, la possession ruine davantage lâĂąme que la perte.
Ainsi, lâor de JĂ©richo ne devint pas un ornement pour les hommes, mais un sacrifice pour le service de Dieu â un signe destinĂ© Ă rappeler aux gĂ©nĂ©rations :
La victoire ne se porte pas comme un butin â
La victoire se dépose comme une adoration.
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đą RĂ©sumĂ©
JĂ©richo Ă©tait sous interdit â tout ce qui avait de la valeur appartenait Ă Dieu. La victoire Ă©tait une victoire sacrĂ©e, non une possession humaine.
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đą Message pour nous aujourdâhui
âą La premiĂšre rĂ©ussite appartient Ă Dieu, sinon lâorgueil deviendra notre maĂźtre.
âą La vraie sĂ©curitĂ© nâest pas dans le fait de prendre, mais de donner.
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đŹ PensĂ©e du jour
Quelle âpremiĂšre rĂ©colteâ devrais-tu rendre Ă Dieu â avant quâelle nâoccupe ton cĆur ?
